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Académies suisses des sciences a+
Chercheuses et chercheurs emprisonnés en Iran : soulagement et grave inquiétude
Plusieurs chercheuses et chercheurs ont été emprisonnés en Iran pendant plusieurs années, accusés d'espionnage ou de coopération avec des états hostiles. Sur 7 chercheurs de plusieurs pays, 6 ont été libérés au cours des 12 derniers mois : il y a un mois la franco-iranienne Fariba Adelkhah, hier l'australienne Kylie Moore-Gilbert. Les Académies suisses des sciences, avec leur Déléguée aux droits de l'homme, n'ont cessé de s’engager en faveur de ces scientifiques et sont très soulagées de ces développements positifs. Cependant, elles sont extrêmement préoccupés par le cas d'Ahmadreza Djalali, le chercheur irano-suédois toujours en prison et risquant la peine de mort.
Académies suisses des sciences a+
Communiqué de presse
Une nouvelle centrale nucléaire pas envisageable avant 2050 au plus tôt
La construction éventuelle d'une nouvelle centrale nucléaire en Suisse, qui fait actuellement l'objet de discussions, dépend de nombreux facteurs. Même si l'interdiction de construire de nouvelles centrales était levée, il resterait de nombreuses incertitudes politiques, technologiques, économiques et sociétales, comme le constate la Commission de l’énergie des Académies suisses des sciences dans son dernier rapport.
Swiss Platform Ageing Society
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Save the Date: Événement réseau – Vieillir en Suisse : quelle politique pour demain ?
Jeudi 19 mars 2026 – Après-midi | Welle 7 à Berne
La Swiss Platform Ageing Society invite ses organisations partenaires à une rencontre pour comprendre et analyser ensemble les enjeux et les opportunités d'une nouvelle politique de la vieillesse en Suisse.
Le programme détaillé et les modalités d'inscription seront disponibles après l'été.
Académie Suisse des Sciences Médicales ASSM
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Poste temporaire en communication ouvert chez SPHN
Le Swiss Personalized Health Network (SPHN) coordonne la mise en place et la pérennisation d’infrastructures de données dans toute la Suisse, afin que les données de santé pertinentes puissent être utilisées de manière responsable en recherche. En vue un remplacement, nous recherchons un.e responsable de la communication à partir de septembre 2025 et jusqu’au 30 septembre 2026.