Initiative populaire pour l’interdiction de l’expérimentation animale et humaine : les hôpitaux universitaires et facultés de médecine déconseillent son acceptation en raison des graves conséquences que cela entraînerait pour la Suisse.

Que se passe-t-il lorsque nous perdons notre capacité de discernement à cause d’un accident ou d’une maladie? En préparant un projet de soins anticipé (ProSA), nous pouvons réfléchir et répondre à ce genre de questions à l’avance et ainsi faire en sorte que notre volonté soit respectée, même lorsque nous ne serons plus capables de décider nous-mêmes. Dans l’article principal du dernier Bulletin de l’ASSM, le Prof. Miodrag Filipovic explique pourquoi le ProSA va bien plus loin que des directives anticipées classiques.

En cas d’urgence médicale, il faut non seulement agir vite, mais aussi tenir compte de la volonté du ou de la patient.e, par exemple s’il ou elle ne souhaite pas être réanimé.e ou hospitalisé.e. Afin d’amener autant de clarté que possible dans ces situations, un groupe national d’expert.e.s a développé le concept de «Projet de soins anticipé (ProSA) pour les situations d’urgence». Celui-ci est mis en consultation jusqu’à la fin février 2026.

Démonstrations particulièrement réussies de pratiques innovantes en matière de données de recherche ouvertes: l’équipe du projet «Choice of Law Dataverse» (Université de Lucerne) ainsi que James Runnalls (Eawag) remportent cette année le Prix national pour les données de recherche ouvertes (Prix ORD). Chacun des deux prix est doté de 10’000 francs.